samedi, juin 16, 2001

Un gardien qui parade !

Une bonne leçon a tous ceux qui croient encore qu'il est facile de marquer en contre attaque...


jeudi, juin 07, 2001

Stoecklin par Quintin

Amies, Amis, … Bonjour,

C'est l'intro qu'il me tarde de trouver. Car pour ce qui est du contenu, du corps principal, de ces quelques lignes, … je sais. Je sais que ce qui compte pour moi, c'est essayer, en participant à cette webventure, de donner une traduction écrite et fidèle, concise et compréhensible, si possible joviale ou enjouée de ce qu'est Stéphane Stoecklin …

Pour moi, vu de par les multiples facettes qu'offre une vie de groupe aussi riche et vive qu'a pût l'être celle des " barjots ".

Si Boule à offert le Nom, Stock a été le premier à apporter aux barjots ce style capillaire, cette marque indélébile qui baigne maintenant naturellement l'univers sportif et publicitaire.

Notre vie ressemble à un rêve, dont des images fugaces travaillent la surface de notre mémoire. Celle de Stock, en blond jaune paille mal décolorée, affûté de semaines de stages de type " commando Aldo ", costard Balenciaga blanc cassé, le coq et ses anneaux bien campé sur la chemisette à trois bandes, le canotier à la Maurice Chevalier et, surtout, le sourire, cette manifeste envie de vivre à bloc ce rêve de gosse, le Graal Olympique, d'en jouir à pleins tubes.

Notre équipe était un difficile équilibre de personnalités bien trempées. C'est le plus grand mérite de notre grand timonier d'avoir voulu et réussi à nous faire co-exister avec une liberté toute particulière mais réelle, je crois … qui n'a en tout cas rien à envier de celle de nos fraternité et égalité dites républicaines… mais je m'égare… Votez Ma Mère !

Cet équilibre, donc, tenait de petits riens et beaucoup. Stock, la magie du bras, le tir pur…, le relâchement, la langue à moitié coincée hors de la bouche !!! Une détente offerte par un paternel champion de hauteur, des roucoulettes, des lobs …La vitesse que dis-je, la Foudre mariée et pénétrée de virtuosité technique, le pied quoi… Un titre tellement mérité de meilleur joueur du monde. Nonobstant la défense dont il est le témoignage criant que c'est en attaquant qu'on défend le mieux…

Notre équilibre a souvent jouis des exploits du bras de Stef. Mais… qu'en aurais-je gardé si ce bras pétri dans l'exercice, la fonte, le Médecine Ball et le Rudy Bertch n'avait crié tout aussi fort son besoin de vivre, de rire, de s'amuser en groupe, seul ou à deux… Merci l'Alevin pour ton bras et cette fraîcheur qui ont tellement fait pour que le temps soit si bon à passer ensemble… En pensant à celui à venir, … de temps, …
Peace Sand Love.

Éric

vendredi, juin 01, 2001

Hand Action n° 6